De @Polyfimos, traduit par @IrateGreek
Le 6 juin 2013, l'ancien tsar de l'économie grecque George Papaconstantinou regardait l'assemblée plénière du parlement grec, qui l'avait déjà mis en accusation pour falsification de document et faute professionelle grave, procéder à un vote afin d'ajouter aux les accusations portées contre lui la déloyauté, dans le cadre du scandale de la liste de 2 062 Grecs détenteurs de comptes bancaires en Suisse, mieux connue sous le nom de « liste Lagarde. »
Quatre jours plus tard, Kostas Vaxevanis, le journaliste qui avait été arrêté et jugé pour avoir publié les noms de la liste le 27 octobre 2012 se retrouvait, pour la deuxième fois, à la place de l'accusé pour la même affaire, après que le procureur a exigé un nouveau procès, parce que le tribunal « n'a pas accordé une importance suffisante aux preuves du dossier et les a mal prises en compte. »
Ce deuxième procès est venu à la suite d'un premier, le 1er novembre 2012, qui, comme le dit Kostas Vaxevanis lui-même dans une lettre ouverte au président de la Commission européenne José Manuel Barroso, avait été mené avec une telle hâte que « l'acte d'accusation ne comprenait aucune preuve, pas même une copie du magazine. Les chefs d'accusation avaient été préparés en telle hâte qu'ils ont même oublié de mettre le sceau du procureur sur le dossier. »
Quatre jours plus tard, Kostas Vaxevanis, le journaliste qui avait été arrêté et jugé pour avoir publié les noms de la liste le 27 octobre 2012 se retrouvait, pour la deuxième fois, à la place de l'accusé pour la même affaire, après que le procureur a exigé un nouveau procès, parce que le tribunal « n'a pas accordé une importance suffisante aux preuves du dossier et les a mal prises en compte. »
Ce deuxième procès est venu à la suite d'un premier, le 1er novembre 2012, qui, comme le dit Kostas Vaxevanis lui-même dans une lettre ouverte au président de la Commission européenne José Manuel Barroso, avait été mené avec une telle hâte que « l'acte d'accusation ne comprenait aucune preuve, pas même une copie du magazine. Les chefs d'accusation avaient été préparés en telle hâte qu'ils ont même oublié de mettre le sceau du procureur sur le dossier. »