1. Les mobilisations de la semaine
Lundi 21 janvier, le Tribunal de première instance d’Athènes a déclaré illégale et abusive la grève des employés du métro d’Athènes. Cette grève, à laquelle ont aussi participé, de différentes manières, les employés du tram et des trains aériens, a débuté jeudi 17 janvier, suite à l'annonce de l’abolition des accords collectifs et les diminutions de salaires prévus par le Mémorandum. Les employés ont réagi en appelant à une nouvelle grève pour les mardi 22 et mercredi 23 janvier, reconduite le jeudi suite à une assemblée. Par solidarité, les employés des autres transports publics ont organisé des arrêts de travail ce même jour.
Suite à une décision du Tribunal de première instance, la direction de la compagnie du métro a menacé de réquisitionner les travailleurs. Dans le même temps, le ministre des Transports s’est montré très agressif à l’égard des employés, tout en annonçant une modification du cadre juridique des grèves. Par ailleurs, le porte parole du gouvernement a laissé planer la possibilité de licenciements ou sanctions financières contre les employés, dès lors que ceux-ci ignoreraient les décisions de Justice. Tous les grands syndicaux ont réagi à de tels propos. Au terme d’une réunion rassemblant le GSEE, le Centre Ouvrier d’Athènes, la Confédération syndicale des cheminots et les syndicaux des transports publics, décision a été prise de mobiliser les travailleurs de plusieurs secteurs.
Lundi 21 janvier, le Tribunal de première instance d’Athènes a déclaré illégale et abusive la grève des employés du métro d’Athènes. Cette grève, à laquelle ont aussi participé, de différentes manières, les employés du tram et des trains aériens, a débuté jeudi 17 janvier, suite à l'annonce de l’abolition des accords collectifs et les diminutions de salaires prévus par le Mémorandum. Les employés ont réagi en appelant à une nouvelle grève pour les mardi 22 et mercredi 23 janvier, reconduite le jeudi suite à une assemblée. Par solidarité, les employés des autres transports publics ont organisé des arrêts de travail ce même jour.
Suite à une décision du Tribunal de première instance, la direction de la compagnie du métro a menacé de réquisitionner les travailleurs. Dans le même temps, le ministre des Transports s’est montré très agressif à l’égard des employés, tout en annonçant une modification du cadre juridique des grèves. Par ailleurs, le porte parole du gouvernement a laissé planer la possibilité de licenciements ou sanctions financières contre les employés, dès lors que ceux-ci ignoreraient les décisions de Justice. Tous les grands syndicaux ont réagi à de tels propos. Au terme d’une réunion rassemblant le GSEE, le Centre Ouvrier d’Athènes, la Confédération syndicale des cheminots et les syndicaux des transports publics, décision a été prise de mobiliser les travailleurs de plusieurs secteurs.